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WTF Présente : EX TENEBRIS LUX en Eglise Jour 2 : ULCERATE + FANGE + SORDIDE
25 octobre à 19h30 – 23h59
Exceptionnels concerts en église du 17ème siècle durant 3 jours : 24-25-26 octobre !
ULCERATE (Death métal-New Zealand)
Avec plus de 800 concerts dans le monde entier, ainsi que des apparitions dans les plus prestigieux festivals de musiques extrêmes (Hellfest, Roskilde, Copenhell, SummerBreeze, Brutal Assault, Roadburn, Psycho Las Vegas, …), 1 EP et 5 albums, CELESTE est aujourd’hui considéré comme l’un des plus importants groupes de la célèbre scène « French Avant-Garde Black-Metal »
CELESTE est un mélange de Sludge / Post-hardcore avec des touches de Black Metal et de Doom. Darkness est le mot qui convient le mieux au groupe. Les lives de CELESTE sont exceptionnels et singuliers car le groupe joue dans l’obscurité totale, n’utilisant que des phares rouges et un stroboscope pour leurs performances.
FANGE (FR Rennes)
Ce trio Rennois formé en 2013 par Benjamin Moreau, a connu une multitude de formes au fil des années, stabilisé avec l’arrivée du chanteur Matthias Jungbluth en 2015 et l’ajout du bassiste Antoine Perron en 2018. Avec leur obsession commune pour l’esthétique austère, les mouvements audacieux et les sons inconfortables, la musique du groupe a également évolué, transfigurant ses racines sludge avec des influences death metal puis industrielles. Une singularité affirmée avec un passage inattendu et brutal aux boîtes à rythmes fin 2019. En 2023, leur dernier album « Privation », les a emmenés sur 2 tours d’Europe et de multiples participations à des festivals. Parallèlement, le groupe travaillait sur son album ‘PERDITION’, 6 nouveaux morceaux et un cover incroyable de Bernard Lavilliers.Mixage : par Cyrille Gachet (Year of no Light, Verdun..) Mastering par Alan Douches (Converge, Mastodon, The Dillinger Escape Plan)..)
SORDIDE (FR Rouen)
Des caniveaux mouillés de Rouen sort Sordide, un power trio de black métal brut qui crache sa colère méprisante et désespérée dans la langue de Molière sous la devise « ni nom, ni drapeau »